Ramish ferma les yeux, pinça deux cordes et
attendit. Les notes se déroulèrent, comme un ruban fragile suspendu dans les
airs. Puis les doigts du musicien se mirent à virevolter, passant d’une corde à
l’autre avec une frénésie gracieuse. Tout un ruisseau de notes traversa
l’autobus. À la fin du morceau, quelques mesures de silence.
- Ça vous a plu ?
Kosmo trouvait cela magnifique. D’ailleurs,
c’est ce qu’il dit :
- C’est magnifique.
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